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jeudi 11 novembre 2010

CONSEIL COOPERATIF n°1

2nde 2 CONSEIL COOPERATIF n°1

15/11/2010 de 13h30 à 15h

ORDRE DU JOUR.

Présidente : Caroline du Crest

Secrétaire : Jérôme Ceccaldi

Donneur de parole : Léo Manipoud

Maître du temps : Théo Chedal-Anglay

Observateur : Dorian Fontana.

1) Divers : (5 min)

- Félicitations sur les affiches

- Faire un lipolub ?

- Félicitations sur la liberté.

- Désir d’un lieu spécifique pour travailler en silence.

2) Faire plus de cours de français : (20 min)

- Problème des brevets à passer : comment acquérir les compétences ?

- Problème des bavardages : pourquoi multiplier des cours qui n’intéressent pas ?

3) Fixer les dates des brevets : (10 min)

- Un constat : peu de brevets passés pour l’instant.

- Une demande : des dates fixes.

4) Faire des projets de classe communs : (20 min)

- Une réponse possible pour avoir plus de cours qui concernent plus de monde ?

- Un moyen d’accroître la coopération ?

- Quel projets ? comment ?

5) Le manque de travail à la maison : (10 min)

- Un constat : les projets avancent très doucement.

- Une nécessité : travailler en dehors des cours.

- Comment la rendre plus évidente ?

6) Les dysfonctionnements du blog : (10 min)

- Pourquoi personne n’utilise-t-il le blog ?

- Pourquoi aussi peu de projets dessus ?

- Est-il nécessaire ? à quoi peut-il servir ?

7) Faire plus de sorties : (10 min)

- Précision sur les sorties prévues par les enseignants.

- Précision sur les attentes de ceux qui ont fait cette demande.

- Propositions.

8) Distribution des rôles du prochain conseil et choix de la date. (2 min)

9) Conclusion : remarques de l’observateur (3 min)

jeudi 7 octobre 2010

...: Stupidité de votre immaturité :...

Que penser de cette réforme qui nous motive tous, ce doux vent de révolution qui souffle sur nos âmes de presque adultes prêts à tout pour changer le monde, faire la révolution sous es étendards de la liberté et de l'égalité?
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Que c'est une immense blague qui me fait rire, mais à un point, vous ne pouvez pas imaginer. Vous êtes si ridicules à espérer changer le monde en grossissant la foule de lycéens révoltés. Mais au fond, vous êtes simplement ridicules. Dans la tout les élèves qui ne sont pas allés en cours aujourd'hui, il devait y en avoir dix qui se sentaient réellement l'âme de révolutionnaire et contre cette réforme qui, de toute façon, ne les concerne pas, une poignée qui voulait les imiter sans vraiment savoir pourquoi, quelques autres qui en avaient marre de ne pas pouvoirs bosser à causes de leurs slogans maintes fois répétés et archaïque (archaïques dans le sens qu'ils faudrait savoir en changer, mais de toute façon, vous ne pouvez pas en créer parce que vous n'êtes pas de vrais révolutionnaires) et le reste? Et bien, en vérité, je vous le dit... ils ne sont que des crétins qui veulent profiter d'une des dernières journées ensoleillés en séchant, avec comme bonne excuse un blocus qui ressemble plus à une passoire qu'autre chose.
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Je rajouterai même que dans la foule, j'en ai vu beaucoup complètement changés par cette euphorie grandissante. J'avoue que même moi, qui essaye bien souvent de garder les pieds sur Terre malgré certains espoirs idéalistes, me suis fait avoir. Mais pas longtemps, contrairement à certains. Car à la fin, je vous ai trouvé à vomir, ridicule à vous battre de toute la vigueur de vos âmes insouciantes et immatures. Certains en révolutionnaires, d'autres en blasés de la vie. Beaucoup avaient été changé par d'autres personnes, que je ne citerai pas. Eux qui me paraissaient matures sont devenus des gamins hurlant des conneries qu'ils comprenaient à moitié.
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Si encore je n'avais que la seule à avoir été choquée (oui, choquée, mes chers, car je ne pensais pas que vous puissiez descendre aussi bas dans mon estime et dans la connerie immature), mais d'autres ont remarqué que vous étiez cons, que vous étiez tout simplement les moutons que vous dites ne pas être.
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Donc, pour achever mon argumentation que peux de gens liront de toute façon:
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Je vous emmerde profond et apprenez à faire la révolution!

jeudi 30 septembre 2010

...: Quand le sang devient mon encre :...

J'ai dévoilé ma détresse
À toi, Ô ma pâle déesse
Avec tes sombres grâces
Mon cœur a tendrement brisé la glace
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Je te hais et je t'aime, Ô ma pâle déesse
Dans mon cœur réside un puissant et puant poison
Dont la source est cette douce détresse
De laquelle tu m'as tiré pour me plonger dans un abîme plus profond
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Je n'hésite plus à tirer le poignard
Pour te faire payer mes douleurs qui sont ton Art
Celui de me tirer de la fange
Pour me donner un mal encore plus étrange
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Peu m'importe à présent, Ô ma pâle déesse
À la fois ma muse, ma catin, ma traîtresse
Tes beaux tours ne sont rien, une fois ta pelisse retirée
Celle qui cache ta chasteté tant de fois recréée
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Tu m'as montré ton cœur de succube, ton noir venin
Rapidement, tu m'as fait comprendre que je n'étais pas le seul
À qui tu as joué tes vilains tours, avant de m'abandonner sur le seuil
Maintes fois j'ai voulue que tu n'appartienne qu'à moi, en vain
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Mais ce soir, de ma plume déterminée, traçante et cinglante
Sur ce papier, enfin! j'ose te l'avouer, sans effusions sanglantes
Que mon cœur a définitivement sombré, que jamais plus je ne t'aimerai
Qu'à présent, ceux qui goûterons ta volubile beauté seront les chiens affamés
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Dès ce soir, mon corps et mon cœur iront rejoindre une autre, Ô ma traîtresse
Ma catin, ma salope, celle qui m'a fais goûter au calice de la tendresse
Ton noir parfum sera à jamais banni de ma demeure, de mon âme et de mon cœur
Qu'à présent, ta détresse se fasse entendre aux confins de mes anciennes douleurs
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Je te maudis, Ô ma pâle déesse, de m'avoir ainsi retiré le bonheur qui me revenais
Retourne dans l'antre des Enfers, car à présent, tu ne me retrouva jamais
Que ce soit dans tes bras, ta chair ou tes jeux, ceux voluptueux et dangereux
Je te bannis de mon cœur, celui que tu as détruis et à présent tu ne sera plus dans mes enjeux
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De ce poème, ne retiens qu'une chose, bien plus profonde que ces vers
Que malgré tout, où que tu sois, sur la mer, dans les cieux ou aux Enfers
Qu'en moi, ton puant poison a fais une naître une tendre et douloureuse passion
Et que par tout les chemins que mon âme prendra, dans mes pas se trouvera l'ombre de cette union...

...: Quand la philosophie se fait après trois bière :...

Nous vivons dans un monde de promiscuité, où il est tout simplement impossible de vivre sans les autres, que nous le voulions ou non. Peut importe l'endroit où l'on se trouve, il y aura toujours l'autre ou nous aurons toujours besoin de l'autre. Peu importe ce qu'en pense certains. Même si l'on est enfermé dans sa chambre, volets baissés et portes fermée, tout ce qui nous entoure a été fais par un autre, que ce soit le lit, l'ordinateur ou les livres. Le bruit de la vie des autres nous entoure et nous rassure.
L'être humain n'est pas fais pour vivre en solitaire. Vous aurez beau dire que non, l'hurler à la face du monde, vous n'y changerez rien. La solitude est une idée si abstraite, que jamais elle ne pourra être mise en pratique, peu importe nos efforts: l'Autre sera toujours présent, même si l'on est perdu en forêt. L'humain a mis sa trace partout, il a appris à contrôler les éléments, retarder la mort du plus qu'il le pouvait. Impossible de vivre sans l'autre. Nous avons besoin de sa chaleur, de ces rires, de sa joie et même de sa tristesse.
Nous ne sommes jamais seuls et nous ne le souhaitons jamais réellement. La personne qui "s'isole" ne fais qu'envoyer un appel au secours, parfois entendu par certains. Ces derniers se dépêchent d'aller aider cette personne qui pourra les rejeter, même si cette action lui met du baume au cœur. L'être humain cherche quelqu'un qui pourra l'aimer pour ce qu'il est. Il est tellement obsédé par cette envie qu'il lui arrive de se renier, pour ressembler à ce que les autres souhaitent qu'il soit. Mais il n'en résultera qu'une destruction intérieure, l'amenant à chercher de nouveau la solitude pour se retrouver, et ce jeu odieux, stérile, continuera...
Vous direz sans doutes que le thème de se texte, on vous a bassiné avec, mais pourtant... C'est un fait, et les preuves sont là: nous ne pouvons pas vivre sans les autres, sans leurs chaleurs, leurs émotions, leurs présences, leurs haines, tout ce qui fait un être humain.

...: Cherchons nous d'abord, ensuite nous chercherons les autres. Aimons nous, sinon nous ne pourrons jamais aimer les autres :...

mardi 21 septembre 2010

Critique de Piranha 3D

Piranha 3D était l'un des films les plus attendus de la rentrée. C'est un remake du film du même nom (1978), à l'origine duquel il y a deux français : Alexandre Aja (réalisateur) et Grégory Levasseur (scénariste).


Un tremblement de terre ouvre une brèche au fond du lac Victoria, Arizona, d'où s'échappent des centaines de piranhas préhistoriques dont la dentition meurtrière relaie ceux d'aujourd'hui au statut de Némo. Pas de bol donc pour tous ces ados surexcités débarquant dans la petite ville de Lake Victoria pour les vacances de Pâques, qui ont juste prévu de faire la fête non-stop sur leurs bateaux.

Ce ne sera pourtant pas la bière qui va couler à flot mais bien le sang. Le carnage peut commencer.

Qu'on se le dise, Piranha 3D est essentiellement un film gore, dû à l'abusif final cut dont il a bénéficié de la part de ses producteurs dans le but d'aller directement aux scènes insoutenables.
On y trouve cependant une touche française avec des femmes nues qui reviennent dans de nombreuses scènes. Ce détail contredit la manie hollywoodienne de ne rien montrer de l'anatomie intime.

Les scènes gores donnent mal au ventre et ne sont parfois même pas liées aux piranhas ; comme cette malheureuse bimbo dont la chevelure soyeuse se prend dans l'hélice d'un bateau. Résultat : le visage part avec le cuir chevelu et on a tout de suite moins envie de grignoter du pop corn.


Néanmoins, l'histoire est crédible et la fin du film nous offre une belle scène d'action - un peu cliché tout de même - où le jeune héro plonge sauver sa belle qu'il aime en secret...et prend le temps de l'embrasser alors qu'une cinquantaine de piranhas sont à leurs trousses...

On finit par s'habituer à cette mer rouge dans laquelle la chair en lambeau flotte et où les baigneurs fêtards tentent sans espoir de se trainer hors de portée des dentiers déchiqueteurs, tenant leur entrailles pendantes et membres estropiés. C'est alors que l'on nous coupe dans notre élan par une fin brusque, inattendue, à première vue déroutante, mais idéale quand on y réfléchit bien. Une fin qui laisse la possibilité à une suite potentiellement intéressante.




jeudi 2 septembre 2010


Sortie Lycéens au cinéma - le 9 Novembre 2010 - 14h - Les Nemours.
The Fly de David Cronenberg - 1986 - VOSTF
2€50


Lectures conseillées :

La Mouche, Georges Langelaan, in Nouvelles de l'anti-monde, 1962.
16 métamorphoses d'Ovide, textes choisis par Françoise Rachmul.

lundi 12 juillet 2010

Lycéens au cinéma - programme 2010/2011


du 3 au 9 novembre 2010
La Mouche de David Cronenberg

du 1 au 7 décembre 2010
La famille Tenenbaum de Wes Anderson

du 5 au 11 janvier 2010
Programme de courts métrages

du 2 au 8 février 2011
To be or nor to be de Ernst Lubitsch

du 16 au 22 mars 2011
Adieu Gary de Nassim Amaouche

du 11 au 17 mai 2011
It’s Free World de Ken Loach